lundi 24 janvier 2011

ABATTUS MAIS NON A BOUT

Samuel Johnson, auteur du XVIIIe siècle, était connu pour son sens de l’humour, sa sensibilité et son savoir encyclopédique. Par ailleurs, la solitude le déprimait à tel point qu’il abritait souvent des pauvres et des sans-abri pour pouvoir être entouré de gens. Il admettait aussi qu’il avait très peur de mourir.
      Cependant, dans un article de l’Encyclopedia Britannica, on mentionne son « gout pour la vie » et on le décrit comme un « moraliste chrétien » doté d’une forte conviction quant a la réalité du péché et a la rédemption que procure la foi en Jésus-Christ. On y lit aussi que sa « foi a prévalu », car quand il a su qu’il allait mourir «  il a refusé de prendre des opiats parce qu’il avait prié pour qu’il puisse rendre a Dieu une âme obscurcie ». A la fin, il est écrit : « peu de gens ont laissé d’aussi bons exemples de l’art de vivre que Samuel Johnson ». 
                   J’ai connu beaucoup de croyants avec le même genre de tempérament, et la plupart d’entre eux passaient par des cycles répétitifs  de joie et de dépression. Quand ils étaient abattus, citer des versets bibliques ne leur était pas d’un grand secours parce qu’ils les connaissaient déjà. C’est en continuant de vivre pour Dieu et de prier que leur foi a prévalu. La «  paix de Dieu » remplissait leur cœur. Quelle bonne nouvelle pour nous tous, surtout pour ceux qui traversent des temps de doute et de désespoir.

Quand la vie est replie d’ombres, regardez le soleil de l’amour de DIEU.

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