dimanche 17 juillet 2011

CINQ “ C” OU DEUX BIENFAITS


A une certaine epoque, les jeunes gens de Singapour desiraient les cinq « C » : compte en banque bien garni, carriere florissante, voiture a conduire, condominium ouu habiter et carte de credit pour voyager.

          Selon un recent article de journal, il y a maintenant une mise a jour des cinq « C » : conscience de ce qui se passe, choix de multiple, culot de faire les choses comme on le veut, causes parce que c’est in d’aider et consommateurs qui depensent et paient plus tard.

          Au lieu des cinq « C », Agur, l’auteur de proverbe 30, a demandé deux bienfaits a Dieu : sa grâce de Dieu, afin qu’il éloigné de lui «  la fausseté et la parole mensongère » (v.8), car il ne voulait pas à se faire prendre a croire que les principes, les pratiques et les affections corrompues sont acceptables.

          Agur a également demandé la bonté de Dieu, afin qu’il pourvoie a ses besoins – ni plus ni moins (V.8, 9). Il s’inquiétait de ce que la pauvreté puisse l’inciter a la convoitise et a déshonorer le nom de Dieu. Mais il se rendait également compte que les richesses pouvaient facilement l’inciter à se dorloter et à renier le Seigneur.

          Que désirez-vous le plus ? La satisfaction temporaire des cinq « C » ou les récompenses de la grâce et de la bonté de Dieu ? Desirez-vous honorer le nom de Dieu par-dessus tout ?


jeudi 14 juillet 2011

SEUL AU MONDE


Dans le film seul au monde, Tom Hanks joue le rôle de Chuck Noland, un cadre gestionnaire – très conscient du temps – chez un célèbre transporteur américain, qui fait naufrage sur une ile déserte. Complètement coupé des gens et des commodités modernes, il doit apprendre les aptitudes primitives de l’homme des cavernes. Il déploie des efforts ardus pour harponner du poisson, faire du feu en frottant des bouts de bois ensemble et ouvrir une noix de coco pour en boire le lait et en manger la douce chair. Le film montre de façon tres détaillé a quel point la vie peut être difficile pour quelqu’un qui est coincé dans un lieu désert.

          Dans la Bible, le désert est souvent le lieu où Dieu accomplit une œuvre puissante dans le cœur humain, Jésus avait l’habitude de se retirer dans le désert pour prier et recevoir la direction de Dieu (Mc 1.35). Dans un tel lieu Dieu a nourri le prophète Elie, découragé, avec une nourriture céleste (1 R 19.1-10), et c’est dans le désert que l’Ethiopien considérait l’Evangile (Ac 8.26-40). Apres la conversion de Paul, il s’est retiré dans le désert de d’Arabie, où il a été instruit par l’Esprit (Ga 1.15-18).

          Vivez-vous un épisode « désertique » en ce moment, isolé de vos amis et de votre famille ? Si tel est le cas, il se peut que le Seigneur veuille      vous enseigner des leçons de foi et d’espérance que vous ne pourriez jamais apprendre dans une foule affairée.

mercredi 13 juillet 2011

NOTRE SUBSTITUT


Ed Leonard, employé d’une compagnie minière canadienne, travaillait en Colombie, en Amérique du Sud, quand il a été capture par des soldats rebelles en 1998. Dans un geste sans précédent, Norbert Reinhardt, propriétaire de la compagnie, a obtenu la libération de Leonard en prenant sa place. Reinhardt a ensuite été détenu comme otage pendant 94 jours.

            Il y a des siècles, Jésus a pris notre place, en devenant notre substitut. L’Ecriture déclare d’ailleurs : « Mais Dieu prouve son amour envers nous, en ce que, lorsque nous étions encore des pécheurs, Christ est mort pour nous » (Ro 5.8).

            La signification de ce geste est tellement profonde que les savants ont du ma a en élucider le mystère. La Bible enseigne que Dieu nous aime, mais qu’il doit faire respecter sa justice parfaite en nous châtiant pour notre péché. Dans le plan qu’il a conçu pour nous racheter, il a envoyé son Fils Jésus comme de la race humaine (Jn 1.18). Bien que sans péché, Jésus, qui est pleinement Dieu et pleinement homme, a subi  notre châtiment sur la croix. Apres cela, il est ressuscité des morts et, depuis, il offre le pardon et la vie éternelle a tous.

            Cependant, il ne suffit pas de connaitre ce fait pour être pardonnés. Pour recevoir le pardon de Jésus, nous devons reconnaitre que nous sommes des pécheurs perdus et impuissants (Ro 3.23), nous détourner de nos péchés et croire en Jésus. Il devient alors vraiment notre sauveur, notre substitut.

dimanche 10 juillet 2011

LA PRIERE D’UN VIEL HOMME


Avez-vous  entendu l’histoire de l’homme de 85 ans qu’on arrêté parce qu’il priait?

            Probablement. Il s’agit de l’histoire de Daniel, un juif âgé vivant a Babylone, qu’on a condamné a mort parce qu’il s’entretenait fidèlement avec Dieu (Da 6).

            Bien que la prière qui a valu ait Daniel d’être jeté dans la fosse aux lions soit la plus célèbre (6.11), ce n’est pas la seule fois qu’on le voit prier.

            Dans Daniel 9, nous trouvons un exemple de la manière dont il a prié. Daniel avait lu dans son rouleau de Jérémie que la captivité de son peuple durerait 70 ans, et cela faisait 67 ans qu’il était en exil (Je 25.8-11). IL avait hâte que ce soit terminé.

            Dieu avait appelé son peuple à vivre dans la justice, mais ce n’est pas ce qu’il faisait. Daniel a décidé de vivre dans la justice malgré le manque de foi du peuple. Il a commencé à prier pour que Dieu ne retarde pas la fin de la captivité.

            En priant, Daniel s’est concentré sur ‘adoration et la confession. Son modèle de prière nous donne bien des pistes pour parler à Dieu. Nous devons reconnaitre que Dieu est « grand et redoutable » (v.4) et que « nous avons péché » (v.15). Dans la prière, il y a l’adoration et la confession.

            Suivons l’exemple de Daniel. Pour lui, la prière était aussi vitale que la vie elle-même.


samedi 9 juillet 2011

TRADUCTION DE SHAKESPEARE?


Certains ont prétend que William Shakespeare avait contribué à traduire la version King James de la Bible. Ils disent qu’il a inséré un cryptogramme (un message écrit en code) en traduisant les psaumes 46. Dans ce psaume, le 46e mot a partir du début est shake  et le 46e a partir de fin est spear. En outre, e 1610, quand on traduisait la King James, Shakespeare aurait eu 46 ans. En dépit de ces coïncidences, aucune preuve sérieuse ne soutient cette théorie.

          Il y a des personnes qui prétendent également avoir trouvé des significations cachés en interprétant la Bible. Certaines sectes citent un verset hors de son contexte pour imposer leur doctrine hérétique aux gens. Certains citent Jean 14. 16, par exemple, et disent que le « consolateur » désigne leur « nouvelle révélation ». Quand on compare ce verset au reste de l’Ecriture, toutefois, il est clair que le consolateur que Jésus nous a envoyé est le Saint-Esprit (Jn 16.7-14 ; Ac 2.1-4).

          L’apôtre Pierre a écrit : « [aucune] prophétie de l’Ecriture ne peut être un objet d’interprétation particulière » (2 Pi 1.20). Pour interpréter correctement un passage biblique, nous devons toujours considérer le contexte et le comparer au reste de l’Ecriture Ainsi, on respecte le sens évident de la Bible sans tenter d’y trouver un sens caché.

vendredi 8 juillet 2011

PAYER AU SUIVANT


Payerez-vous la facture des passagers de la voiture derrière la votre à un restaurant avec service au volant – même si vous ne les connaissez-pas ?

          C’est le défi qu’une chaine de radio chrétienne a lancé à ses auditeurs pour changer leur communauté. On l’appelait «  la différence du service au volant ». L’objectif était de poser un geste à la manière de Christ pour des gens qui ne s’y attendaient pas et de laisser un mot disant que vous l’aviez fait en raison de votre amour pour Christ.

          Pourquoi faire cela ? Pourquoi dépenser de l’argent pour la nourriture de quelqu’un d’autre – surtout quelqu’un que vous ne connaissez pas et qui pourrait être hostile a la foi ? Pourquoi donner sans rien espérer n retour ? Cela semble contre-culturel, mais l’idée a un solide fondement biblique.

          Remarquez ce que Jésus a dit lorsqu’il s’est adressé a une grande foule : « si vous aimez ceux qui vous aiment, quel gré vos en saura-t-on ? Les pécheurs aussi aiment ceux qui les aiment. Si vous faites du bien a ceux qui vous font du bien, quel gré vous en saura-t-on ? »  (Lu 6. 32, 33). De toute évidence, Jésus veut que nous fassions le ben envers des gens qui ne peuvent aucunement nous le rendre.

          Que nous payions la facture de quelqu’un au restaurant ou que nous déposions de la monnaie dans le coffre de l’Armée du salut, notre souci devrait être de donner avec désintéressement – qu’on le remarque ou non. Au nom de Jésus, qui pouvez-vous bénir aujourd’hui ?

jeudi 7 juillet 2011

UNE QUESTION SECULAIRE


A 17 ans, Jérémie luttait avec une question que les théologiens se posent depuis des siècles. Pour lui, le problème n’était pas théorique mais pratique. Il tentait de comprendre pourquoi sa mère avait dû subir une opération au cerveau. Sa question : «  pourquoi les personnes qui sont bonnes souffrent-elles, maman ? »

            Elle lui a répondu : «  LA souffrance fait partie de la vie dans un monde maudit par le péché, et les bonnes personnes souffrent comme les autres. C’est pour cette raison que je suis contente que nous ayons Jésus. Car si je meurs, j’irai dans un endroit meilleur, et j’aurai hâte au jour où nous reverrons. » Elle a ensuite ajoute qu’elle comprenait sa frustration, mais elle lui a dit de ne pas tenir Dieu pour responsable.

            Si vous et moi sommes déconcertés par la souffrance des bonnes personnes, nous pouvons poser directement la question à Dieu, en débattre avec lui s’il le faut et lutter avec mes doutes. Mais ne le tenons pas pour responsable.

            Dieu n’a pas expliqué a Job ce qu’il faisait, mais il lui a dit qu’il pouvait être certain qu’il était juste (Job 38-42). Et il nous assure, dans sa parole, que jésus a souffert a notre place, qu’il est ressuscité des morts et qu’il nous prépare maintenant une place exempte de souffrance.

            Ce ne sont peut-être pas les réponses que nous désirons, mais ce sont les réponses qui peuvent nous aider à vivre avec cette question séculaire de la souffrance, a laquelle il est souvent impossible de répondre.

mardi 5 juillet 2011

ESTIMER LES AUTRES


Il y avait bien des choses qui nuisaient au jeune Robert: la pauvreté, un foyer brisé, un voisinage violent. Il ratait souvent l’école et était un garçon difficile. Mais quand un de ses amis s’est fait tuer, il a considéré cela comme un appel à se réveiller. Déterminé à changer sa vie, Robert a travaillé fort pour que ses résultats scolaires passent de l’échec aux notes les meilleurs.

          Cependant, le conseiller de l’école ne croyait pas en lui et lui a dit qu’aucune université ne l’accepterait Mais Robert a prouvé qu’il avait tort car il a obtenu un diplôme universitaire et a fait carrière dans le domaine de l‘éducation. Il a choisi cette carrière parce que, comme il le dit : «  Les professeurs me voyaient comme une non-entité » - une personne de peu de valeur. Or, il ne voulait pas que cela arrive aux autres.

          Jésus accorde de l’importance à chacun. Il aurait pu faire fi de Zachée, qui était un publicain malhonnête (Lu 19. 1-10) mais il l’a vu dans l’arbre et l’a appelé par son nom.

          Il importe que les chrétiens voient les autres comme des personnes qui ont de la valeur. Brennan Manning a écrit «  le chrétien qui ne voit pas seulement l’autre mais qui  le regarde communique a cette personne qui la considère comme un être humain dans un monde impersonnel d’objets. »

          Les personnes que nous côtoyons savent-elles que nous les considérons comme précieuses pour nous et pour Dieu ?