jeudi 30 juin 2011

A QUOI RESSEMBLERONT MES INQUIETUDES?


Hans Christian Andersen, auteur de contes bien connus, avait une phobie : être enterré vivant. En conséquence, il portait toujours un mot dan sa poche pour signifier à quiconque le trouverait inconscient de ne pas présumer qu’il était mort. Il laissait souvent un autre mot sur sa table de chevet, où il avait écrit : «  je ne suis mort qu’en apparence ». Telle était son angoisse jusqu'à ce qu’il succombe au cancer en 1875.

            Nous pensons peut-être que ce genre de crainte est étrange, mais avons-nous des craintes qui paraitront tout aussi irrationnelle un jour ? Se pourrait-il qu’un jour vienne où nous regarderons nos propres inquiétudes passé avec étonnement ? Ne verrons-nous pas alors e nous quelqu’un d’insensé qui a choisi de s’inquiéter plutôt que de prier ? Le temps finira – t – il par nous dépeindre comme quelqu’un de pitoyable qui était affligé par la peur parce qu’il n’a pas affronté la vie ave les ressources que le seigneur tout-puissant de l’univers déversait sur lui ?

            L’inquiétude ne change rien. Par contre, faire confiance au seigneur change tout notre façon de voir la vie.

            Pardonne-nous, Seigneur, notre propension à nous inquiéter et aide-nous à voir combien il est insensé de nous inquiéter ce que tu as promis de nous donner. Ne nous laisse pas nous enterrer vivants avec no craintes !

mardi 28 juin 2011

FAMINE SPIRITUELLE


Dans un roman de J. Christopher, un virus destructeur attaque les herbes du monde entier. Pas seulement l’herbe des pelouses, mais toutes les herbes, y compris le blé, l’orge, le seigle, l’avoine et le riz. En quelques mois, le monde est plonge dans la famine et son compagnon brutal, la violence. Les gens commencent à se quereller, puis à se tuer pour manger.

Le roman dépeint une scène que des gens qui ont vécue dans de récentes famines, et qui est terrifiante quand on la voit aux informations télévisées. Pourtant, je ne peux qu’imaginer à quoi cela ressemble.

Le prophète Amos a parle d’une sorte  de famine différente. Il l’a appelée la faim «  d’entendre les paroles de l’Eternel » (8. 11). Tandis que le manque de nourriture peut engendrer des maladies et la mort, une faim de la Parole peut engendrer des conséquences éternelles. Sans accès a la parole de Dieu, nous sommes prives de sagesse pour notre vie et du message de la vie éternelle en Christ. En tant que chrétiens, nous avons besoin du « lait spirituel et pur, afin que par lui [nous croissions] » (1 Pi 2.2). Nous pouvons nous identifier au prophète quand il a dit : «  j’ai la joie et l’allégresse de mon cœur » (je 15.16).

Le monde a faim de la connaissance du Dieu qui peut satisfaire les besoins du cœur humain. Contribuons à remplir les cœurs en proclamant sa parole.

dimanche 26 juin 2011

RALENTIR ET VIVRE


Plusieurs de nos résolutions du nouvel An peuvent en fait accélérer notre rythme de vie au lieu de nous aider à ralentir. En cherchant à accroitre notre productivité et notre efficacité, nous surchargeons nos journées, avalons nos repas a toute vitesse, conduisons impatiemment et nous nous demandons pourquoi la joie de vivre nous échappe.

Carroll Odell, qui écrit un courrier du cœur d’affaires, dit que ralentir peut influencer positivement notre vie au travail comme a la maison. Elle croit que se presser peut obscurcir notre jugement et nous faire négliger des choses importantes et des gens précieux. Carol encourage tout le monde à ralentir, et suggère même une idée radicale : apprécier les feux rouges et utiliser le temps d’attente pour méditer.

Dans le Psaume 1, il n’y a aucune allusion à un rythme accéléré. Il décrit quelqu’un qui jouit de la bénédiction de Dieu. Au lieu de penser et d’agir comme ceux qui considèrent rarement les choses spirituelles, « [il] trouve son plaisir dans la loi de l’Eternel, et […] la médite jour et nuit ! » (V. 2) Résultat : une vie fructueuse et une âme bien nourrie (v. 3.).

Esaie a écrit : «  A celui qui est ferme dan ses sentiments tu assures la paix, la paix, parce qu’il se confie en toi » (Esaie 26.3) Aujourd’hui, essayez de pensez a ce verset chaque fois que vous aurez à attendre. N’est-il pas temps pour nous tous de ralentir et de vivre ?