D’après le Wall Street journal, ce n’est plus la dépression mais l’anxiété qui est le principal problème de sante mentale aux Etats-Unis, en sorte que les médicaments contre l’anxiété sont maintenant les plus vendus en pharmacie. En dépit d’une économie florissante et de la stabilité politique, l’inquiétude et l’appréhension font quand même partie de notre vie – et un comprimé ne saurait y remédier.
Quand David a composé le Psaume 55, son esprit était agité par le même genre de situations avec lesquelles nous nous débattons aujourd’hui : il avait un mouvement de recul devant la violence, la colère et la méchanceté qui sévissaient dans les rues de la ville (v. 9-11). Il a aussi connu l’angoisse après avoir été trahi par un ami intime (v. 12-14) et il a voulu s’enfuir dans un lieu paisible (v. 4-8).
Puisque l’anxiété de David reflète la notre, son remède peut aussi est le notre. Voici ce qu’il dit : « Et moi, je crie a Dieu, et l’Eternel me sauvera […] Remets ton sort a l’Eternel, et il te soutiendra » (v. 17, 23a)
L’anxiété est un fardeau que nous ne sommes pas appelés à porter. Nous devons plutôt nous décharger sur Christ de nos soucis, car lui-même prend soin de nous (1 Pi 5.7) ; voir aussi (ph 4. 6,7).
Si votre cœur est chargé, sachez que le Seigneur est prêt à porter chaque fardeau que vous lui remettrez.
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