Un soir, j’ai regardé une émission d’information à la télévision portant sur des problèmes de nombreux jeunes athlètes qui, du jour au lendemain, deviennent des vedettes sportives multimillionnaires. Ils commencent par acheter des voitures couteuses, par vivre luxueusement et par faire la fête. Puis il e livrent a l’inconduite et a la consommation de drogues Résultat : leur carrière ne tarde pas à s’effondrer.
L’auteur de l’Ecclésiaste aurait pu compatir avec ces jeunes athlètes, car dans le chapitre 6, il illustre la vanité d’une vie remplie de richesses, mais sans Dieu, en décrivant deux genres d’hommes. Le premier est soit un alcoolique, soit un play-boy, et il accède rapidement a la réussite, mais est malheureux et meurt sans héritiers (v.12). Le second vit longtemps et a beaucoup d’enfants, mais est lui aussi insatisfait et meurt sans ami (v.3, 6). L’auteur conclut qu’il vaut mieux ne pas avoir vécu du tout que d’être riche et célèbre, mais misérable !
L’apôtre Paul dit que quand nous cédons le contrôle de notre vie a Dieu, les bénédictions terrestres réjouissent le cœur, car Dieu, « donne avec abondance toutes choses pour que nous en jouissons » (1 Ti 6. 17b). Et si nous utilisons ‘argent pour faire le bien, il sert les desseins eternels de Dieu, et nous permet de « saisir la vie véritable » (v.19). Un avenir brillant et un présent rempli de joie : voila la différence que fait Dieu !
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